L'ardoisière

Cette image représente bien le livre car on y voit la dualité entre le breton, avec la tenue traditionnelle bretonne, et l'école républicaine. On y voit donc une petite fille partagée entre les deux. L’enseignante en arrière plan qui transmet son savoir rappelle que l’école est un lieu où les élèves et donc les  enfant apprennent tous la même chose, ce qui va à l’encontre de la tenue traditionnelle bretonne que porte la jeune fille au premier plan. Qui plus est, le tableau noir, l’encre et les bureaux en bois rappellent le cadre fermé de l’école.

Notre radioreportage littéraire :

EXTRAITS DE L’ÉMISSION:

• "Ici la petite Mona ne parvient pas à savoir comment agir : doit-elle choisir de se comporter à la maison comme à l'école et inversement ou doit-elle adapter son comportement au lieu et aux personnes qu'elle fréquente ?" (Maïwenn )
• "Je trouve que cette introduction MÉRITE qu'elle soit lu, elle est forte, potentiellement choquante, froide, et nous mets tout de suite dans un état de pitié envers l'Autrice" (Malo)
• “Dans ce passage, l’autrice décrit sa grand-mère, Marie-Scholastique, par sa vie et son caractère. Mona OZOUF nous parle de l’enfance, de l’adolescence, de la vie de femme et d’épouse que menait sa grand-mère.” (Marine)
• "L'inspecteur, tout en étant là pour évaluer l'enseignant, représente aussi une forme d'unicité de l'enseignement, ce qui pourrait limiter la liberté pédagogique des maîtres et des maîtresses." (Elise)